Nécessaire porte-carte de la comédienne Julia Bartet, fin XIXème
Nécessaire porte-carte de la comédienne Julia Bartet, fin XIXème
Nécessaire de la comédienne française Julia Bartet (pseudonyme de Jeanne Julie Regnault, Paris, 1854-1941) comportant un peigne en écaille, un crayon à la prise or surmontée d'une améthyste et un miroir bordé or dont le dos gravé aux armes de l'actrice peut former carnet de bal.
Étui en galuchat vert (monture en or, 750 millièmes, ciselé et argent) est orné de la devise latine de Julia Bartet «Occulta redolens et quum lucens», de son monogramme JB et d'une étoile rayonnante sur fond or en diamant taille rose
L'emplacement vide était peut-être destiné aux cartes de visite.
Bon état général (petits manques au peigne)
H. 11,5 × L. 7,5 × P. 1,5 cm.
Celle que le tout Paris a surnommé La Divine, pour son excellence dans tous les domaines, a été une des grandes rivales de Sarah Bernhardt pendant la Belle Epoque. Sociétaire de la Comédie-Française dès 1880, elle joua les premiers rôles féminins dans de nombreuses pièces jusqu'en 1919, date à la laquelle elle tire sa révérence pour se consacrer à la peinture.
Étui en galuchat vert (monture en or, 750 millièmes, ciselé et argent) est orné de la devise latine de Julia Bartet «Occulta redolens et quum lucens», de son monogramme JB et d'une étoile rayonnante sur fond or en diamant taille rose
L'emplacement vide était peut-être destiné aux cartes de visite.
Bon état général (petits manques au peigne)
H. 11,5 × L. 7,5 × P. 1,5 cm.
Celle que le tout Paris a surnommé La Divine, pour son excellence dans tous les domaines, a été une des grandes rivales de Sarah Bernhardt pendant la Belle Epoque. Sociétaire de la Comédie-Française dès 1880, elle joua les premiers rôles féminins dans de nombreuses pièces jusqu'en 1919, date à la laquelle elle tire sa révérence pour se consacrer à la peinture.
